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2012-2020

Revue
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À PROPOS DES OEUVRES ↓

Habiter

The pair’s uncanny synchronicity, in the simplest of actions like swiping their forearm across the table, were timed with the utmost precision, challenging the idea that perfection does not exist.

Valeria Nunziato The Dance Current, 2019

From this sort of still-life that changes with extreme precision, an ashen, portentous beauty shines through.

Marinella Guatterini Wall Street International Magazine, 2019

Dans un clair-obscur travaillé, Germain détaille des instants d’une femme seule à sa table. Peu à peu une autre figure émerge pour un duo aux gestes millimétrés.

Philippe Noisette Les Echos, 2019

We the audience become suspended in timelessness. Meditating on the minute details of life we do not normally see. Hidden by the pace of our urban existence.

Ted Fox Evidance Radio, 2019

Presque seulement une série de plans fixes, un jeu pour les interprètes (la chorégraphe y danse aussi) de silence et de la plus grande immobilité possible, qui parle de souvenirs et de disparition, de la transmission de la délicatesse et de son individualité. C’est solide et cohérent.

Catherine Lalonde Le Devoir, 2017

Les interprètes sont vibrantes dans leurs expressions faciales et corporelles : elles sont à la fois neutres mais intenses et certains tableaux qu’elles proposent ne sont pas sans rappeler les tableaux de Johannes Vermeer.

Jeanne Hourez Sors-tu, 2017

« Avec une précision impressionnante, les deux femmes sont pleinement investies dans leur action captée et immobilisée instantanément, dans les différentes intentions de leurs regards, dans les relations spatiales qu’elles doivent recréer à chaque changement de lumière. Germain et Ménard habitent parfaitement leur espace et leur corps. »

Chloé Ouellet-Payeur Pieuvre.ca, 2017

Habiter évoque en moi des images d’un chef-d’œuvre de Vermeer, tout en ombres.

Luc Archambault Westmount Mag, 2017

À feuilleter cet album de postures dans le tableau, on voit se dessiner la moquerie des codes, des habitudes, tandis que la poésie des objets se dessine.

Guylaine Massoutre Spirale Magazine, 2017

F O L D S

Sans besoin de préparation, la chorégraphe nous amène directement dans le monde de l’illusion visuelle, nous fait perdre nos repères spatiaux et accepter l’existence multiple de cette danseuse au corps gracile qui évolue lentement. […] Les transitions d’un monde imaginaire à un autre sont sans faute et ne cessent d’enrichir le spectacle tout au long de sa trajectoire.

Mario Veillette Chroniques du regard, 2016

La transformation vidéographique des mouvements donne de magnifiques numéros des danseuses avec les doubles produits. Une belle farandole où la beauté du corps et la mécanique du mouvement prennent toute la place.

Robert Boisclair Les enfants du paradis, 2016

La chorégraphie qui pourrait être un solo est hautement esthétique, et l’ajout des écrans surpasse l’exploration technologique ou purement technogeek. Elle est motivée, elle ajoute à la beauté globale et à l’impact de FOLDS.

Émilie Riouz Chyz 94.3, 2016

F O L D S pige autant dans la danse que dans la poésie et l’art visuel. C’est en fait un poème cinétique, où on joue avec les perceptions, les mouvements et le temps. […] Comme probablement tout le monde, j’ai fini par être hypnotisé par cette poésie visuelle.

Mickaël Bergeron Voir, 2016

On ne perçoit aucune hiérarchie entre la chorégraphie et la projection vidéo. C’est plutôt la symbiose qui transparaît et on soupçonne que la danse tiendrait la route sans le dispositif vidéographique, comme Germain nous l’a déjà prouvé auparavant avec Aube et Y demeurer. La vidéo ne fait qu’enrichir sa proposition, qui s’avère être d’une grande beauté et poésie.

Sylvain Verstrucht Local Gestures, 2014

Aube

La pièce est un petit bijou et dévoile une jeune chorégraphe très outillée, d’une grande finesse.

Catherine Lalonde Le Devoir, 2012

La gestuelle est peaufinée, à scruter dans ses détails dʼun doigt qui pointe, dʼune épaule fléchissante, dʼun corps entier qui se soumet en ombre ou prend au contraire le devant sur lʼautre en saisissant lʼopportunité dʼespace. Le tout prend son temps pour se dévoiler, un temps compté avec précision et justesse. Cʼest délicat, modeste, bien dosé. Et quand elles ont rouvert les yeux… la scène était allumée, les spectateurs aussi !

Brigitte Manolo DFDanse, 2012

A great lineup from Tangente, a great lineup of interpreters, it’s no wonder we all lined up and sold out these shows that will hopefully grace other stages soon. I’d see this double bill again and again.

Stéphanie Fromentin Danscussions, 2012

Katia-Marie Germain, a Danse Buissonnières success story is back with a 25-minute creation that stays true to the delicate and visually engaging artistic signature she has been developing.

Allison Bloody Underrated, 2012

Katia-Marie Germain et Geneviève Ferron, chorégraphes densifiant l’espace, s’acheminent vers de nouvelles manières de penser l’articulation des arts vivants et visuels. Retenez bien leur nom.

Nayla Naoufal Ma mère était hipster, 2012

Nous découvrons chez la chorégraphe une gestuelle très évocatrice, reposant sur la présence et la concentration impeccables de ses danseuses. Très cinématographique.

Olivier Koomsatira Danse Nouvelles Montréal, 2012

Si Aube se déploie dans la pénombre, c’est pourtant une révélation. Katia- Marie Germain nous offre une chorégraphie presque rythmée par l’engrenage sonore d’un métronome sur lequel se meuvent harmonieusement les danseuses.

Alain Fortaich Voir.ca, 2012